Pushlines :
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| MAGIC #58
On dirait que LUNT est passé par My Bloody Valentine, de longues notes soutenues sur fond de guitares saturées (Hope’s Twilight, délicieusement schizophrénique)…L’univers de Lunt, où les influences contraires se heurtent sans cesse les unes aux autres, nous ébranle parfaitement.
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| ABUS DANGEREUX FACE 75
La musique de Lunt a deux visages bien distincts qui se fondent parfois sur les titres suivants, le chant propre aux côtés pop venant se poser sur les ambiances.
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| JADE WEB
Un carrefour d’influences aériennes et dissonantes se joue sur Hope’s twilight (superbe) Waiting for expectations, ou One day, jamais très éloignés de My bloody valentine, Joy division ou des premiers Ulan Bator (2°), autant de titres et d’artistes chez qui on retrouve ce même soin consommé à la composition de ballades froides et brumeuses.
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| BUZZ (Novembre 2001)
Le fameux chaos livré par le chant du cygne de Diabologum " #3 " continue de faire des vagues jusqu’à cette nouvelle incarnation du désordre répertoriée sous le nom de Lunt…En combinant musiques qui apaisent à l’esprit et mots qui cognent à l’âme, Lunt est de ces albums dont l’intelligence, la sensibilité et la remise en question permanente pourraient presque devenir communicatives
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| NOVA (disque du jour)
Ce disque sensible et parfois dérangeant, où le chant peut se faire faux, l’accord raté, le son crissant… Ce one man band dirigé …On passe du morceau pop assez classique, bien qu’un peu tordu, à des titres nettement plus expérimentaux, où la guitare crie, où les bruits météo posent une ambiance déconcertante. Une nuit pluvieuse avec orage hurlant et rideau de gouttes non stop.
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| SOIT DIT EN PASSANT
Des lignes de guitares à la Sonic Youth ou à la Piano Magic, une tension permanente et impalpable, des textes sombres et subtiles…Un disque emprunt d’une maturité étonnante, qui se situe entre un post-rock noisy et une sorte de folk avant-gardiste. Tantôt bruitiste, tantôt épuré, ce disque éponyme contient des morceaux incontournables, évocateurs et phosphorescents.
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| FEARDROP (été 2003)
Le langage est vaste mais l’on ressent une grande unité dans la diversité, un esprit épris de nuances, rayons / cordes issus d’un même centre.
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| SDZ #12
Ambiance à la fois complexe et intime… Guitare bien en main, Lunt vous invite à découvrir des territoires musicaux peu fréquentés mais pour autant souvent mélodiques et remplis d’émotion.
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